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Des documents déclassifiés de l’US Air Force recensant plus de 10 000 incidents liés à des objets volants non identifiés ont été mis en ligne sur une base de données. Le quotidien britannique “The Daily Telegraph” en a sélectionné quelques-uns.
“La vérité est désormais disponible – sur la Toile“, écrit le quotidien américain USA Today. 130 000 pages de documents de l’US Force portant sur des visions d’ovnis et des enquêtes sur le sujet ont été mises en ligne par un passionné, John Greenewald, sur une base de données nommée The Black Vault. Ces documents déclassifiés proviennent pour la plupart du Project Blue Book [projet Livre Bleu] de l’armée de l’air américaine, qui a recensé plus de 10 000 incidents liés à des ovnis entre 1947 et 1969.
D’après une fiche explicative de 1985 de la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio, qui hébergeait le Project Blue Book, l’US Air Force a décidé de mettre fin aux enquêtes sur des ovnis après être arrivée à la conclusion que “aucun ovni signalé, ayant fait l’objet d’une enquête et d’une évaluation par l’US Air Force, n’a jamais donné d’indication d’une menace pour notre sécurité nationale [et qu’]il n’y a eu aucun signe que des visions classées comme ‘non identifiées’ correspondent à des véhicules extraterrestres“.
Le quotidien britannique The Daily Telegraph a sélectionné et résumé le 24 janvier quatre de ces incidents, dont un a eu lieu en France, à Vins-sur-Caramy, dans le Var.
Un homme roulait à vélo sur la route quand il a vu “un signal lumineux très puissant” et quatre silhouettes. Craignant un guet-apens, il a fui en courant et est tombé sur une maison voisine, où il a rencontré un couple à qui il a raconté ce qu’il avait vu. Les trois personnes ont vu ensemble la lumière clignoter, passant du blanc au rouge. Près de la lumière ils voyaient trois hommes, grands d’environ 1,45 m, immobiles, habillés de costumes beige et gris. La lumière a peu à peu disparu au loin et quand les trois personnes sont revenues sur les lieux avec la police, la route était marquée de formes noires dans une substance molle et collant légèrement au sol, ressemblant à du goudron. Même si les témoins étaient décrits comme “très dignes de confiance” dans l’enquête, leur récit a été classé comme “non fiable”.
Source: courrierinternational.com